Un traitement différent de ce que l'on voit d'habitude de Venise. On dirait presque une cité fantôme. J'aime beaucoup l'impression qui se dégage de ta photo. Bises.
Oui c'est une sorte de pied de nez à ce que l'on voit de Venise, je voulais montrer autre chose, faire autre chose... Il y aura des gondoles forcément, mais j'aimais mes vues cachées, ces murs qui me touchent tellement. Merci à vous.
C'est dans l'envers du décor que les lieux retrouvent leur noblesse et non dans les "cartes postales", certes, pourtant, fort belles. Ton image parle vrai, naturellement et sans mièvrerie. C'est ainsi que j'aimerai voir Venise. Bisous Peggy.
Waouhhhhh.....u NB sublime...comme j'aimerais e faire..on ressent toute l'âme mystérieuse de Venise, la magie des lieux,les façades qui s'éffritent,et ses reflets...j'adore Venise
Ah comme j'eusse aimé avoir eu le temps d'explorer Venise en gondole lors de mon passage là-bas fin mai... Mais je n'étais que de passage, trop vite... Superbe n&b
You have captured the light of Venice so charmingly, Peggy. I love the boats tied up beside the houses that were once grand but are still so full of character. Wonderful work my friend. Bravo!
Thanks for your comments Steve and Jack ! ♥ Merci à tous pour vos gentils regards ! Olivier, je te remercie pour tes mots qui me vont droit au coeur...
Un traitement différent de ce que l'on voit d'habitude de Venise. On dirait presque une cité fantôme. J'aime beaucoup l'impression qui se dégage de ta photo. Bises.
RépondreSupprimerOui c'est vrai, on sort de l'aspect "carte postale", c'est étrange comme sensation.. Un peu comme l'envers du décor ..
RépondreSupprimerJe raffole de ces noirs huileux et de ces beaux contrastes, belle prise intemporelle qui fait d'emblée voyager.
RépondreSupprimerOui c'est une sorte de pied de nez à ce que l'on voit de Venise, je voulais montrer autre chose, faire autre chose... Il y aura des gondoles forcément, mais j'aimais mes vues cachées, ces murs qui me touchent tellement.
RépondreSupprimerMerci à vous.
C'est dans l'envers du décor que les lieux retrouvent leur noblesse et non dans les "cartes postales", certes, pourtant, fort belles.
RépondreSupprimerTon image parle vrai, naturellement et sans mièvrerie. C'est ainsi que j'aimerai voir Venise.
Bisous Peggy.
C'est excellent ! Je te souhaite une agréable journée
RépondreSupprimerJP
Waouhhhhh.....u NB sublime...comme j'aimerais e faire..on ressent toute l'âme mystérieuse de Venise, la magie des lieux,les façades qui s'éffritent,et ses reflets...j'adore Venise
RépondreSupprimerDans la venise la rouge @mauve
RépondreSupprimerDans Venise la rouge,
Pas un bateau qui bouge,
Pas un pêcheur dans l'eau,
Pas un falot.
Seul, assis à la Grève,
Le grand lion soulève,
Sur l'horizon serein,
Son pied d'airain.
Autour de lui, par groupes,
Navires et chaloupes,
Pareils à des hérons,
Couchés en rond,
Dorment sur l'eau qui fume,
Et croisent dans la brume,
En légers tourbillons,
Leurs pavillons.
La lune qui s'efface
Couvre son front, qui passe
D'un nuage étoilé
Demi-voilé.
Ainsi, la dame abbesse
De Sainte-Croix rabaisse
Sa cape aux larges plis
Sur son surplis.
Et les palais antiques,
Et les graves portiques,
Et les blancs escaliers
Des chevaliers,
Et les ponts, et les rues,
Et les mornes statues
Et le golfe mouvant
Qui tremble au vent,
Tout se tait, fors les gardes
Aux longues hallebardes,
Qui veillent aux créneaux
Des arsenaux.
— Ah! maintenant plus d'une
Attend, au clair de lune,
Quelque jeune muguet,
L'oreille au guet.
Pour le bal qu'on prépare,
Plus d'une qui se pare,
Met devant son miroir
Le masque noir.
Sur sa bouche embaumée
La Vanina pâmée
Presse encore son amant,
En s'endormant.
Et Narcisa, la folle,
Au fond de sa gondole,
S'oublie en un festin
Jusqu'au matin.
Et qui, dans l'Italie,
N'a son grain de folie ?
Qui ne garde aux amours
Ses plus beaux jours ?
Laissons la vieille horloge,
Au palais du vieux doge,
Lui compter de ses nuits
Les longs ennuis.
Comptons plutôt, ma belle,
Sur ta bouche rebelle
Tant de baisers donnés...
Ou pardonnés.
Comptons plutôt tes charmes,
Comptons les douces larmes
Qu'à nos yeux a coûté
La volupté!
Alfred de Musset -Premières poésies, 1828
Dans Venise la rouge - 1844
Ah comme j'eusse aimé avoir eu le temps d'explorer Venise en gondole lors de mon passage là-bas fin mai... Mais je n'étais que de passage, trop vite... Superbe n&b
RépondreSupprimerComme c'est bon de vous lire et de ressentir votre émotion pour ces lieux.
RépondreSupprimerMerci ♥
comment ne pas se noyer dans cette image ??
RépondreSupprimeril flotte un sentiment de paix silencieuse contrasté par le noir et blanc....
You have captured the light of Venice so charmingly, Peggy. I love the boats tied up beside the houses that were once grand but are still so full of character. Wonderful work my friend. Bravo!
RépondreSupprimerexquisite monochrome. bravo
RépondreSupprimerFascinante ton image, un N&B génial. Pleins d'étoiles pour cette merveille. Belle journée Peggy, bisousss.
RépondreSupprimerTu sais déjà tout le bien que je pense de ce cliché...mais quand on aime, on ne compte pas...alors j'y reviens !!!
RépondreSupprimerSuperbe , tout simplement !
Thanks for your comments Steve and Jack ! ♥
RépondreSupprimerMerci à tous pour vos gentils regards !
Olivier, je te remercie pour tes mots qui me vont droit au coeur...
Très beau traitement , j'aime ces photos qui font un pau la nique aux usages et aux habitudes , Phil
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